Un vieux rêve
Qu’est-ce qui pousse des entrepreneurs saoudiens à se lancer dans ce secteur inconnu qu’est l’aviculture ? « Pour moi, c’était un vieux rêve, car c’est ce que faisait un de mes amis. Ensuite, surtout après le COVID, le gouvernement offrait des subventions substantielles pour favoriser le développement du district et rendre le pays autosuffisant en matière de volaille. C’était donc l’occasion rêvée.
Les clients
L’usine de Dajin Poultry transforme le petit poulet blanc saoudien typique, qui pèse environ 1,35 kg. Avec six élevages de poulets de chair et quatre autres en location, l’objectif est de traiter entre 50 et 60 000 poulets de chair par jour. Une grande partie de la production se fera sous marque de distributeur. Les partenaires tiers fourniront leurs propres poulets et leur matériel d’emballage pour qu’ils soient transformés dans l’usine de Dajin. « Nous commençons par distribuer localement dans les villages et villes environnants, comme Al Majma’ah. Nous travaillerons avec les supermarchés et les détaillants locaux », explique Khaled al Yousef.